Échos de Roger sur Serge Fortin et Marc Dubé

Catégorie : Société Écrit par marc

les echos fortin dubé 600

 

Je ne sais trop si c’est le fait de vieillir  ou de ne plus fréquenter régulièrement les endroits habituels mais je suis toujours étonné de revoir une vieille connaissance après quelques années  d’absence.

 

Ainsi en a-t-il été, dimanche dernier, lorsque j’ai revu avec  grande joie Serge Fortin au moment où nous nous  sommes croisés à l’intérieur  de l’espace réservé aux guichets automatiques de la Caisse populaire Desjardins. Si ma mémoire ne fait pas défaut,  cela devait bien faire deux ou trois ans que je n’avais pas eu la chance de lui parler au-delà de le saluer. Affichant  ce sourire naturel qui lui est propre, Serge m’a rassuré sur son état de santé et sa joie de vivre. « Je  suis en excellente forme, je m’entraîne régulièrement dans un studio de culture physique, et je joue au golf » m’a-t-il dit. Je n’ai pas saisi la réponse mais je ne serais pas surpris s’il chassait toujours. Serge est né dans une très belle fratrie de Price dont le papa a déjà été maire. 

 

-------------------------------------------------------------------------------------------------

 

Une fois dans l’anecdote autant vous parler un peu de Marc Dubé, un employé à la retraite du Service des travaux publics de la Ville de Mont-Joli que j’ai eu le vif plaisir de rencontrer au centre commercial, la semaine dernière. Son temps, Marc le passe de bien des façons dont naturellement une bonne partie sur son lot à bois au « Lac du 15 », et à la chasse quand les règlements le permettent. Ai-je besoin d’ajouter que nous avons aussi parlé de son merveilleux père, Pierre-Paul, un employé du Stade du centenaire qui s’est créé une foule d’amis au fil des ans? Quel gentilhomme! Un peu de sa maman qui passe tout l’été au « Lac du 15 »  et ses deux magnifiques sœurs  Pierrette et Danielle? Pour revenir à son paternel, je ne me souviens pas qu’il se soit fait un seul ennemi durant toute sa carrière  au Stade du centenaire, connu évidemment avant 1980 sous la dénomination habituelle « d’aréna ». Jamais je n’aurais imaginé me rendre à cet endroit sans payer une visite à Pierre-Paul Dubé. J’aurais eu l’impression de commettre un sacrilège. Son fils Marc lui ressemble de plus en plus en vieillissant.

 

 

Roger Boudreau